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    Noi credevamo

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    Buongiorno, notte : Affiche

    Buongiorno, notte

    A Rome, en 1978, Chiara, jeune terroriste engagée dans la lutte armée, est impliquée dans l'enlèvement et la séquestration d'Aldo Moro. A travers ses yeux, nous voyons se dessiner l'univers complexe des "années de plomb". Sa foi absolue dans la révolution l'emprisonne dans les rituels de la clandestinité. En contrepoint, elle mène une vie au grand jour, un quotidien ordinaire : le boulot, le bureau, les collègues et un petit ami qui semble la connaître si bien, si pleinement, mieux qu'elle ne se connaît elle-même. Elle s'accroche à des émotions infimes que l'idéologie et la lutte des classes battent continuellement en brèche. En conflit avec les autres membres du groupe, elle se sent de plus en plus mal à l'aise dans son rôle de combattante, tandis que le passé et le présent ébranlent ses certitudes.
  4. Bien 3.12 sur 5 21
    Don Giovanni, naissance d'un opéra : Affiche

    Don Giovanni, naissance d'un opéra

    Condamné à quinze années d'exil par la Sainte Inquisition pour complot contre l’église, le prêtre Lorenzo da Ponte quitte Venise pour Vienne en 1781. L'Empereur Joseph II, se prenant d'emblée d'amitié pour le jeune garçon, lui demande d’écrire le livret des Noces de Figaro pour Mozart. Cette première œuvre du jeune librettiste est un véritable succès. Très vite son ami Casanova l’implore de travailler avec Mozart à l’écriture d’un nouvel opéra Don Giovanni , inspirée de sa propre vie de libertin.
  5. Bof 2.32 sur 5 63
    Napoléon (et moi) : Affiche

    Napoléon (et moi)

    Île d'Elbe, 1814. Ce que Martino déteste le plus au monde c'est Napoléon. Il rêve même tous les soirs qu'il tue le Tyran Immonde. Alors, lorsque l'Empereur arrive soudain sur l'Ile, vaincu et exilé, Martino y voit un signe... et graisse déjà son vieux pistolet. Celle que Martino aime le plus au monde c'est la Baronne Emilia, mais elle ne pense qu'à partir vivre à Naples, décidée à s'éloigner de son trop jeune amant. L'Histoire va rapprocher Napoléon et Martino, toujours obsédé par l'idée de tuer l'Empereur. Mais Napoléon est parfois si touchant voire même attendrissant que Martino hésite et semble presque déjà conquis... Jusqu'à ce que... !
  6. Bien 3.02 sur 5 103
    Une histoire italienne : Affiche

    Une histoire italienne

    A l'aube du 30 avril 1945, cinq jours après la Libération, on retrouve à la périphérie de Milan deux cadavres ensanglantés. Une pancarte fraîchement peinte les identifie : Osvaldo Valenti et Luisa Ferida, exécutés quelques heures auparavant par les partisans. Mais qui étaient Osvaldo Valenti et Luisa Ferida ? Adulé du grand public, le couple, aussi célèbre à la ville qu'à l'écran faisait partie des acteurs de premier plan du cinéma des "téléphones blancs" que le régime fasciste avait voulu encourager. Parfaits dans les rôles du voyou séduisant et de la femme perdue et sans âme, ils scandalisaient la petite bourgeoisie italienne en incarnant ces personnages anarchisants et dissolus.
  7. Bien 3.24 sur 5 852
    L'Armée du crime : Affiche

    L'Armée du crime

    Dans Paris occupé par les allemands, l'ouvrier poète Missak Manouchian prend la tête d'un groupe de très jeunes juifs, Hongrois, Polonais, Roumains, Espagnols, Italiens, Arméniens, déterminés à combattre pour libérer la France qu'ils aiment, celle des Droits de l'Homme. Dans la clandestinité, au péril de leur vie, ils deviennent des héros. Les attentats de ces partisans étrangers vont harceler les nazis et les collaborateurs. Alors, la police française va se déchaîner, multiplier ses effectifs, utiliser filatures, dénonciations, chantages, tortures... Vingt-deux hommes et une femme seront condamnés à mort en février 1944. Dans une ultime opération de propagande, ils seront présentés comme une Armée du crime, leurs visages en médaillon sur un fond rouge placardés sur les murs de toutes les villes du pays. Ces immigrés, morts pour la France, entrent dans la légende. C'est cette belle et tragique histoire que raconte le film.