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    Lenny and the Kids (Go Get Some Rosemary) : Affiche

    Lenny and the Kids (Go Get Some Rosemary)

    Après plusieurs mois passés séparé de ses enfants, Lenny, la trentaine, les récupère à l'école. Comme chaque année, il passe deux semaines avec ses fils Sage, neuf ans, et Frey, sept ans. Tout ce petit monde s'entasse dans le studio du centre de New York. Au fond, Lenny hésite entre être leur père ou leur copain, et voudrait que ces deux semaines durent six mois. Pendant ces quinze jours, un voyage dans le nord de l'Etat de New York, des visiteurs venus d'étranges pays, une mère, une petite amie, des couvertures "magiques", et l'anarchie la plus totale s'emparent de leur vie entre burlesque et tendresse. Comme un chant du cygne au pardon et à la responsabilité, à la paternité, aux expériences personnelles, et à ce que l'on ressent quand on navigue entre l'enfance et l'âge adulte.
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    The Pleasure of Being Robbed : Affiche

    The Pleasure of Being Robbed

    Eléonore, jeune femme libre et curieuse, déambule dans les rues de New York. Pour se distraire, elle vole tout ce qui lui tombe sous la main. Ce qu'elle trouve dans les sacs des passants déclenche aventures et rencontres. Au cours d'un vol, Eléonore rencontre Josh...
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    C'est l'histoire d'un homme solitaire qui s'appelle John, Il vit seul et essaie de se lier avec quelque chose ou quelqu'un. Parfois, il est difficile de faire la différence entre un rire hystérique et des pleurs hystériques.
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    Frownland

    New York, Keith Sontag occupe ses journées à faire un porte à porte à peine lucratif et franchement improbable : comment vendre des coupons de réduction à vocation caritative à des individus aussi peu réceptifs que motivés ? Le soir, il rejoint son appartement du Queens, banlieue peu réjouissante s'il en est. Pour lui, toute tentative de communication avec les humains est une bataille. Malgré tout, tel un extra terrestre égaré, il maintient son cap dyslexique et fantasque et va même jusqu'à apprendre à ne plus se laisser faire, prenant ce qu'il faut d'assurance pour éjecter un colocataire sans scrupule, sauver un ami du suicide et enfin attraper la vie à bras le corps.
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    The Dish and the Spoon

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    Celles qui aimaient Richard Wagner : Affiche

    Celles qui aimaient Richard Wagner

    Celles qui aimaient Richard Wagner est une comédie dramatique et satirique consacrée au compositeur allemand. Le parti pris du film est de raconter cette vie par le prisme d’un personnage contemporain : Judith. L’intrigue se déroule donc sur deux périodes spatiotemporelles distinctes : aujourd’hui à Paris, et autrefois (1842-1883) dans l’Europe parcourue par le compositeur (Allemagne, Suisse, Italie). Judith est un personnage décalé par rapport à son entourage familial, social et professionnel. Son amour exacerbé pour Wagner lui permet de fuir le quotidien prosaïque dans lequel elle se trouve engluée. Ce personnage est donc le "personnage norme" du film auquel le spectateur s’identifie, et c’est grâce à lui qu’il entre dans l’univers wagnérien. A travers ses récits, Judith rêve la vie de Wagner. On retrouve à plusieurs reprises des personnages de l’époque wagnérienne dans la période contemporaine. Ils interprètent bien sûr d’autres rôles, mais assurent la liaison entre l’univers imaginé par Julie et la médiocre réalité qui l’entoure. Prête-t-elle aux personnages d’autrefois les silhouettes qu’elle côtoie aujourd’hui, ou transpose-t-elle ses rêves dans la réalité présente, donnant à son entourage les traits de ces illustres personnages ?