Il ne faut jurer de rien !

Paris, juillet 1830. Valentin se perd dans l'alcool, le jeu, les femmes. Il ne croit pas en la vie et surtout pas en l'amour. Son oncle Van Buck ne croit qu'aux vertus de l'argent et du commerce. Irrité par les extravagances de son neveu, Van Buck veut lui faire épouser Cécile, la jeune fille de la baronne de Mantes...

Trois familles d'aujourd'hui, très différentes, sont confrontées à un seul et même problème : leurs enfants ont pris le dessus... Et puis un jour, tout bascule ! Une goutte d'eau qui fait déborder le vase, une bêtise de plus, un mensonge de trop et voilà que les adultes décident d'unir leurs forces pour rendre à ces petits diables en culottes courtes la monnaie de leur désobéissance... Entre les enfants rois et les parents rebelles, désormais, tous les coups sont permis !

Confronte a la souffrance, a l'angoisse, a la violence des rapports humains, a tout ce qui rend malade, le docteur Sachs, révolte contre l'arrogance du savoir médical et le sentiment de son insuffisance, tombe malade de lui-même. C'est la maladie de Sachs. Par petites touches, par petites phrases, les patients font le portrait du médecin.

Deux êtres se rencontrent... Sarah et Dan sentent qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Après une première nuit d'amour, Sarah s'éclipse, laissant son numéro de téléphone sur un bibelot qu'ils ont gagne la veille a la foire. Dan se lève, renverse le bibelot qui se brise en mille morceaux et avec lui le fil d'Ariane qui le relie a Sarah.

Zina, jeune ouvreuse de theatre, hesite entre l'amour de Slim, chauffeur de taxi qui espere devenir avocat et celui de Frederic, qui tient l'affiche au theatre. Pourquoi ne pas garder ses deux amours ?

Une jeune employée, prise en otage par un braqueur de banque, parvient à le tuer et cache l'argent du butin.

Juin 1940. Alors que les troupes allemandes envahisent la France, un groupe de mondains parisiens, contraint à l'exode, voit la belle limousine qui le transportait mitraillé par un avion ennemi en rase campagne. Ils ne trouvent, comme seul refuge, qu'une petite ferme des environs. La guerre faisant rage, ils se retrouvent dans l'obligation de partager la vie, dure et exigeante, des paysans qui les ont recueillis, totalement opposé à l'existence frivole qu'ils menaient à Paris...