1. Top 3.53 sur 5 16
    Aliker : Affiche

    Aliker

    Antilles. Colonie de la Martinique, dans les années 30. Un simple militant communiste, André Aliker, malgré l'opposition effrayée de ses proches, va prendre la direction de la feuille imprimée que son parti fait paraître, vaille que vaille. Par une intuition extraordinaire, Aliker devinera la force d'impact que pourrait atteindre ce moyen d'expression, et il transformera très vite la petite feuille militante, "Justice", en un véritable journal, appliquant des méthodes d'investigations et une éthique dignes de la presse moderne. Dans cet univers colonial, hiérarchisé et clos, soumis à la toute-puissance des usiniers et des planteurs, ce nouveau journalisme aura l'effet d'un cyclone. Aliker s'attaquera directement au plus puissant des usiniers : Le Dragon. Ce dernier a la réputation de détruire tout ce qui s'oppose à ses intérêts. Mais, André Aliker, affrontant sa propre peur, défiant sa propre mort, avec juste l'idée qu'il se fait du journalisme, ira jusqu'au bout de son intransigeant souci d'information et de vérité. De liberté aussi.
  2. Bien 3.17 sur 5

    Les Mauvais jours (TV)

    Nathalie, 50 ans, ne retrouve plus de travail depuis son licenciement. Sa situation se dégrade jusqu'à se faire expulser de chez elle pour loyers impayés. Acculée, elle accepte un emploi comme caissière dans un supermarché où elle fait la connaissance d'Ismaël. Honteuse de vivre dans sa voiture, Nathalie continue de faire croire à sa fille, à son petit-fils que tout va bien. Virée de son nouveau travail à la fin de sa période d'essai pour avoir aidé une ancienne collègue à elle dans le besoin, Nathalie se retrouve à la rue. Que va-t-elle devenir ? Jusqu'où va-t-elle sombrer ? Sa fille va-t-elle finir par découvrir la vérité ? Ismaël reverra-t-il Nathalie dont il est tombé amoureux ? L'amour pour ses proches sera-t-il plus fort que la honte d'avoir tout perdu, son mari, son travail, son confort ?
  3. sur 5

    Rendez-moi justice (TV)

    Le 27 juillet 1988, la petite Céline Jourdan est retrouvée violée et assassinée sous les branchages le long d'une rivièe à La Motte-du-Caire, un village de Haute-Provence. Quatre ans plus tard, le 30 novembre 1992, deux hommes comparaissent devant la justice du tribunal de Grenoble. Le premier, Didier Gentil, est un SDF surnommé «le tatoué». L'autre, Richard Roman, est un ingénieur agronome qui a fui la société pour s'installer dans la montagne et élever des chèvres. Quatre ans d'instruction quatre juges qui se succèdent.