Les Héritiers

A la mort d'Omar Porassis, un multimilliardaire, ses heritiers, Gaetan et Chantal, se disputent sa fortune. Deux fils naturels du defunt, Marc et Roger, sont retrouves. Gaetan et Chantal tentent de leur faire renoncer a leurs droits. Decouvrant la verite, Marc et Roger essaient de leur echapper et une folle poursuite commence...

Bernard et Jules sont passionnés des champs de course, ils ne s'intéressent à rien d'autre. La seconde guerre mondiale éclate et ne se rendent compte de rien.

Bernard Chapuis, jeune homme noceur, est obligé d'épouser Lysiane Laborie. Celle-ci se rend parfaitement compte que son futur mari ne l'aime pas et décide, avec la complicité de Bobby, un camarade, de donner une leçon au jeune homme. Le soir où Bernard enterre sa vie de garçon, Bobby lui présente une " Lily-la-Strychnine > qui n'est autre que Lyslane. Complètement effondré, Bernard décide de rompre, mais découvre peu après la supercherie. A son tour, il fait croire à Lysiane qu'il est un gangster. Ce petit jeu l'amène à fréquenter de réels bandits et le tout se termine au poste de police, après une terrible bagarre. Il n'en faut pas moins pour que Lyslane et Bernard découvrent enfin qu'ils s'aiment réellement.

L'entreprise familiale de robinetterie Dubard, dirigée par Paul Dubard, est au bord de la faillite. La tante Violette possède soixante hectares d'un mauvais vignoble dans le bordelais que la General Motors souhaiterait acquérir à prix d'or. Pour redynamiser ses affaires, Paul envisage de convaincre sa tante d'accepter la transaction, ce qui lui permettrait d'empocher une généreuse commission. Mais la tante Violette se montre intraitable !

Honoré Bonvalet est un domestique peu stylé mais d'une honnêteté à toute épreuve. Il entre au service d'un grand avocat parisien dont le succès est dû en partie à des combinaisons plus ou moins louches. Honoré s'occupe non seulement de son travail de domestique mais aussi des affaires de son patron ; il ne peut souffrir en effet de laisser celui-ci continuer ses petites combinaisons et règle à l'amiable les différends qui opposent les clients, au grand dépit de l'avocat dont l'intérêt est d'envenimer les choses. Bon-valet découvre un jour dix millions enveloppés dans du papier journal et les porte au commissariat. Cette " extraordinaire " preuve de probité le rend célèbre, la presse parle de lui et il attire à son patron de nouveaux clients, Ayant non seulement assuré la renommée de l'avocat, mais encore obligé ce dernier à quitter sa maîtresse pour ne plus se consacrer qu'à sa femme, Bonvalet épousera celle qu'il aime.