-
◆ Top 3.69 sur 5 40
En 1974, à l'époque du regroupement familial, Zouina, une belle maghrébine d'une trentaine d'années, arrive de son Algérie natale avec ses trois enfants pour s'installer à Saint-Quentin, en Picardie, sous l'étroite surveillance de sa belle-mère Aïcha. Elle vient rejoindre Ahmed, son mari, dont elle vit séparée depuis dix ans et qu'elle considère presque comme un inconnu. Celui-ci est ouvrier spécialisé dans une usine textile. Zouina partage sa cour avec un couple de retraités. L'arrivée de cette famille est une véritable catastrophe pour M. et Mme Donze et les hostilités ne tardent pas à se déclarer.
-
◆ Bien 3.31 sur 5 16
Les enfants et petits-enfants des immigrés arrivés en France dans les années 50 ont pu, grâce à l'école publique, accéder au savoir, acquérir des diplômes et envisager une véritable carrière professionnelle. Mais le taux de chômage des jeunes diplômés issus de l'immigration est trois fois plus élevé que celui de la moyenne nationale. Victime d'une discrimination invisible, liée aux préjugés raciaux hérités du colonialisme, ils ne peuvent, à diplôme égal, accéder au système méritocratique, pilier de notre République. Et pourtant, tout comme l'école et l'armée, l'entreprise est ce creuset symbolique qui parvient, grâce au travail, à rassembler toutes les composantes de la société et à donner le sentiment d'appartenir à une nation. Lorsqu'une entreprise donne une chance d'entrer dans le monde du travail à ses hommes et femmes, leur parcours peut les amener au plus haut niveau.
-
◆ Génial 4.71 sur 5 8
"Ce film, declare Yamina Benguigui, la realisatrice, est le recit de mon voyage au coeur de l'immigration maghrebine, En France. L'histoire des peres, des meres, des enfants, l'histoire de mon pere, de ma mere, mon histoire. Le cinema m'a prete une identite, celle de realisatrice, pour reconstruire celle que je negligeais, fille d'immigree. A la recherche de cette difficile identite, certains ont ete tentes par l'islam, d'autres ont ete happes par la delinquance. Beaucoup d'entre eux ont reussi leur integration."
-
◆ Génial 4.75 sur 5 4
La d.f.c.r. (dire, faire contre le racisme), association luttant contre le racisme et l'exclusion par le biais du cinéma, a fait un appel à scénarios de films courts auprès de jeunes de 16 à 26 ans et en a confié la réalisation à des cinéastes confirmés. Cette série de 12 courts métrages aborde le racisme sous différents aspects afin de mieux l'identifier et de mieux le reconnaître. "Poitiers, voiture 11" d'Yves Angelo et François Dupeyron, "Pimprenelle" de Yamina Benguigui, "Maman, regarde!" de Paul Boujenah, "Mohamed" de Catherine Corsini, "Lettre à Abou" d'Emilie Deleuze, "Petits riens" de Xavier Durringer, "Sans autre, t'es rien", "Tadeus" de Philippe Jullien et Jean-Pierre Lemouland, "Cyrano" de Vincent Lindon, "Pas d'histoire" de Philippe Lioret, "Relou" de Fanta Régina Nacro, "Le Vigneron Français" de Christophe Otzenberger.
-
◆ Top 4.00 sur 5 2
Soria doit animer un anniversaire d'enfants, déguisée en fée Pimprenelle. Elle est froidement reçue par la maîtresse de maison pour qui une fée ne peut être que blonde. Et pour les enfants ?
-
◆ Navet 0.50 sur 5
Aïcha a décroché un job… à Bobigny, alors qu’elle rêvait de vivre son histoire amoureuse avec Patrick dans la ville Lumière. Elle va tout miser sur le défi que lui lance sa responsable parisienne : réussir le lancement d’une gamme "ethnique" de produits révolutionnaires pour cheveux. Mais rien n’est jamais simple chez les Bouamaza…
-
◆ sur 5
-
◆ Génial 5.00 sur 5
-
◆ sur 5