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◆ Bien 3.13 sur 5 78
Entre le travail dans une usine de chocolat la journée et le sexe consommé à la chaîne le soir, la vie de Loïc est réglée comme du papier à musique. Mais un jour, il fera quelque chose d'exceptionnel, "de nouveau". Le jeune homme ne sait pas encore quoi, mais économise déjà sur la nourriture en se coupant l'appétit à coup de cachet contre le mal d'estomac. Il y a Marie également, l'amie d'enfance, celle chez qui Loïc va dormir après avoir été rodé sur internet, puis dans les rues de la ville. Celle dont Loïc est peut-être amoureux. Mais tout cela va changer, parce que Loïc va faire des rencontres : le type étrange du Mac Donald d'abord, mais surtout Rui, le footballeur star de l'équipe régionale. Le jeune homme va changer, parce que Marie le forcera à aller plus haut. Parce que Loïc n'est pas un garçon stupide...
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◆ Bien 3.10 sur 5 41
Un couple s'enfonce dans la nuit au volant d'une voiture "empruntée" à la Radio Suisse, comme des voleurs. C'est Lucie et son frère Lionel, enfants d'un pasteur vaudois, et potentiellement descendants directs d'une famille polonaise. Mais rien n'est moins sûr. Ce qui est sûr, c'est la course-poursuite en Slovaquie, les usines désaffectées de Silésie, la voiture volée, le mariage blanc, l'étudiant de Cracovie, les faux passeports, les vrais ennuis, la route pour Varsovie, l'aventure, enfin. Et quelque part en Pologne un cheval qui se noie, nuit après nuit.
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◆ Bien 3.16 sur 5 22
François ne connaît rien au cinéma mais doit chroniquer des films pour un petit journal de la Vallée de Joux. Rosa est une critique reconnue qui travaille dans le plus grand quotidien du pays. Une relation perverse s'instaure entre eux, menant François à découvrir les mécanismes du désir. Celui d'une femme, celui de la critique, puis finalement les siens.
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◆ sur 5
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◆ sur 5
Depuis l’âge de neuf ans, David Miller connaît la date du jour de sa mort. Alors que celle-ci approche, il rencontre pour la dernière fois des êtres qui lui sont chers, obsédé par l’idée d’apprendre à faire un noeud de cravate et par la chute dans l’eau du cinéaste québécois Claude Jutra.