Nord paradis

Boulogne-sur-Mer, Nord Pas-de-Calais. Marie-Rose est la propriétaire de l'une des casses les plus importantes de la région. Elle dirige son entreprise d'une main de fer et règne en maitre sur sa famille, un clan de ferrailleurs qui vit pratiquement en autarcie. Aurélia, étudiante en sociologie, prépare son mémoire de fin d'études. Elle a rendez-vous avec Marie-Rose. Au moment où elle arrive, Marie-Rose est hospitalisée. Aurélia commence alors son travail auprès de la famille. En l'absence de Marie-Rose, les langues se délient et les noeuds familiaux se révèlent...

"Mon nom est Sally Tisiga, je suis membre de la nation Kaska, membre du clan du loup, une survivante des lois d'intégration canadiennes, une parmi tant d'autres." Du Yukon au Sud de l'Alberta, la quête de Sally réveille le souvenir de plusieurs générations d'enfants autochtones enlevés en bas âge à leurs parents. L'histoire personnelle de Sally lève le voile sur un chapitre méconnu de l'histoire des Premières Nations, éclairant sous un jour nouveau les enjeux du combat actuel pour le contrôle de l'éducation. Acculturation, perte d'identité, souffrances mais également guérison et espoir pour les générations à venir, telles sont les différentes étapes du périple que nous allons vivre avec Sally.

Dans une région lointaine, au coeur d'une forêt mystérieuse vit un peuple d'étranges créatures de bois. Oeuvre d'un vieux savant fou, mort avant d'avoir pu les achever, elles errent affamées, vouées à une mort certaine. Théo, un météorologue présent dans la région se retrouve prisonnier dans le manoir qui sert d'abri à ces créatures. rendu impuissant par un envoûtement, le sang du jeune homme servira à les nourrir et à donner la vie à la plus belle d'entre-elles.

une ballade visuelle et sonore dans la capitale japonaise et plus particulièrement dans l'immense marché aux poissons. Les impressions saisies dans ce décor devient un prétexte pour parler de la vie, du voyage, de la mort...

A Etretat, au début du siècle, une famille bourgeoise s'apprête à poser pour la très officielle photo de famille. Que de dignité et de respect, ils nous imposent!! Et si cette facade se fissurait, ne deviendrait-on pas les témoins des peurs, fantasmes et obsessions cachés...