Mademoiselle

Institutrice respectable d'un village corrézien, Mademoiselle souffre d'une sexualité refoulée. Ce mal-être se traduisant par des actes de destruction, elle allume des incendies au sein de son village laissant croire que Manou, le bûcheron italien qu'elle désire, en est l'auteur.

Un homme assassine son patron avec l'aide de sa femme dont il est l'amant. Voulant supprimer un indice compromettant, il se retrouve bloqué dans l'ascenseur qui l'emporte sur les lieux du crime.

Un artiste de music-hall se produisant dans de mediocres spectacles refuse le verdict du public et s'obstine jusqu'a perdre les etres qui lui sont les plus chers.

Le quotidien d'un britannique au caractère instable.

A Notthingam, en Angleterre, un ouvrier mecontent de son sort se compromet avec une femme mariee.

Adaptation de la célèbre pièce de Shakespeare.

Angleterre, XVIIIème siècle. Joseph Andrews, abandonné par ses parents, est recueilli par Lady Booby. Plus le temps passe et plus la jeune femme est séduite par le charme et la jeunesse du garçon. Bien décidée à l'initier aux plaisirs de l'amour, elle ne comprend pas quand celui-ci, éperdument amoureux d'une autre, refuse ses avances. Mis dehors, contre son gré, par Lady Booby, Joseph Andrews va vivre des aventures extraordinaires et va tout faire pour conquérir sa Belle...

Des jeunes gens excentriques sont réunis dans château et y vivent de façon libre et insouciante. Un jour, un jeune homme vient se réfugier dans la demeure.

« C’est un poème sur les gens Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent Et ce qu'ils croient vouloir Même si peu nombreuses sont les choses sur cette terre Qui méritent notre intérêt Et c'est un poème sur ce que les hommes font Car ce qu’ils font Est plus important que ce qu’ils n’ont pas fait Et c’est un poème sur les êtres humains Sur ce qu’ils ressentent dans la nuit bleue Qui chante l’hymne des caravanes Et comment ils goûtent au sable Dans l'avion en flammes Qui s’abat en sifflant Comme un chant de deuil ardent Et pour finir Ce sont des poèmes de guerre Ecrits sur un bureau Alors qu'elle fait rage Sans pitié. » Poème de Nathan Zach, extrait du film, lu par Jeanne Moreau