Les Hirondelles d'hiver (TV)

L'histoire des "hirondelles d'hiver", des enfants qu'on louait à des tourneurs l'hiver dans les Alpes au début du siècle pour s'occuper des tâches ingrates.

Nina, jeune polonaise en exil à Londres, et Pierre Bernard, envoyé par le général de Gaulle, se retrouvent à Nuremberg. Ils font partie de l’équipe internationale réunie par le Procureur Robert Jackson autour des juges des quatre nations pour juger vingt quatre grands criminels de guerre nazis. Nina traduira en simultané les accusés durant le procès. Pierre, membre de l’équipe de Champetier de Ribes, est le procureur adjoint chargé du dossier de l’extermination des juifs de France. Les verdicts tombent, onze accusés seront pendus, trois acquittés et les autres condamnés à des peines de prison. Goering s’est suicidé avant d’être pendu. Pierre et Nina repartent chacun tenter de reconstruire leur pays alors que, dans l’ombre, certains nazis parviennent à échapper à la justice.

Une chanteuse de jazz, toujours en tournée, met au monde une fille handicapée mentale qu'elle abandonne dans une institution spéciale. Dix-huit ans plus tard, elle souhaite la retrouver...

Dans un village au coeur du Mont-Blanc, le lieutenant Martin Le Kerrec reçoit un appel d'urgence: la mer de glace a fait resurgir le corps de Bertrand Santini, disparu il y a quinze ans. Les parents de Bertrand, avertis du drame s'éffondrent. Ils étaient persuadés que leur fils vivait en Australie et recevaientt régulièrement des nouvelles de celui-ci, par lettre et par courriel. L'autopsie ayant révélé de nombreux hématomes sur le cadavre, le médecin légiste conseille à Le Kerrec de ne pas écarter la piste criminelle. Selon la rumeur, Bertrand, qui fricotait avec des malfrats, aurait été à l'origine d'un braquage dont il aurait récupéré le magot. Une autre piste s'offre aux policiers, celle du crime passionnel. Bertrand et un voyou surnommé Popeye étaient en effet amoureux de la même femme, Jeanne...

Père et mari heureux, Louis décide soudain de tout abandonner pour une vie plus passionnante. Il découvre bientôt qu'il aime les hommes et décide d'enfin vivre son existence pleinement...

Sous l'occupation allemande en France, lors de la Seconde Guerre Mondiale, le maire Fontaine d'un petit village, Chambon, ainsi que ses habitants, décident de cacher et de s'occuper de nombreux enfants juifs destinés à rejoindre les camps de concentration...

On dit de Lou qu’elle est une enfant précoce. Elle a treize ans, deux classes d’avance et un petit corps qui prend son temps. Elle a une mère emmurée dans les tranquillisants, peu d’amis, et le ressenti aigu d’un monde qui va de travers. Lou doit faire un exposé sur une jeune femme sans abri. Elle en a vu une à la Gare d’Austerlitz. Une qui fait la manche, demande des clopes, s’endort sur la table du café lorsque Lou lui offre à boire pour l’interviewer. Elle a 18 ans, s’appelle No, Nora en fait mais tout le monde dit No, et bientôt Lou ne pourra plus se passer d’elle. Mais No est imprévisible, elle a grandi dans les foyers et elle ne ressemble à personne. Un jour, elle disparaît. Lou la recherche, sûre de ce besoin qu’elles ont l’une de l’autre. Lorsque No réapparaît à bout de forces, Lou sait ce qu’elle doit faire : No viendra vivre chez elle.

Emile, septuagénaire et veuf, connaît une retraite sans heurts, faite de rituels et de loisirs paisibles. L'instant n'existe pas vraiment, la vie coule comme la Loire où il pèche régulièrement avec un autre retraité, Edmond. Mais un jour, Edmond, après lui avoir révélé qu'il avait une vie amoureuse et sexuelle cachée, meurt. Emile, pour ne pas sombrer, tente de se secouer pour retrouver goût aux choses. Lui viennent des envies oubliées d'adolescent, des envies d'étreintes, des envies d'aimer, mais aussi des envies d'en finir...

Libraire d'origine algérienne installé depuis quarante ans sur la place du village, Monsieur Joseph est connu et apprécié de tout le quartier. Un matin, il constate que sa jeune femme n'est pas rentrée de la nuit. Quand on lui demande où elle est passée, pris au dépourvu il compose un alibi bancal. Mais son inquiétude grandit avec les heures, en même temps que les soupçons du voisinage. De vieilles histoires remontent à la surface, les gens causent, la police s'en mêle et quatre jours suffiront à chambouler la vie tranquille de cet homme intègre et philanthrope.