1. Génial 5.00 sur 5 1
    Ernani (Pathé Live) : Affiche

    Ernani (Pathé Live)

    En direct du Metropolitan Opera de New York. Durée : 2h20 avec 2 entractes. Ernani est le chef d'un groupe de bandits avec lesquels il veut soulever une révolte contre le roi Carlo pour venger le meurtre de son père. Il se rend en secret au château de Silva pour rencontrer la nièce de celui-ci, Elvira dont il est amoureux bien qu'elle soit déjà promise à son oncle. Carlo, lui aussi amoureux d'Elvira se trouve déjà là incognito. Elvira le reconnaît mais le repousse et face à son insistance n'hésite pas à se saisir d'un poignard pour défendre son honneur. Ernani fait irruption pour protéger Elvira mais le roi le reconnaît et l'exhorte à la fuite. Silva entre à son tour à l'improviste, indigné par l'attentat à son honneur commis par Carlo mais il reconnaît le roi et lui rend hommage. Carlo permet finalement à Ernani de s'échapper.
  2. sur 5
    Simon Boccanegra (UGC Viva l'Opéra) : Affiche

    Simon Boccanegra (UGC Viva l'Opéra)

    La Scala de Milan. 1 prologue et 3 actes dont 1 entracte de 20 minutes. Pour le Simon Boccanegra de Placido Domingo – ou la reconversion d'un immense ténor en baryton de premier ordre, pour le Fiesco royal de Ferrucio Furlanetto, pour l'Amelia de la soprano allemande d'origine grecque Anja Harteros, sans nul doute la seule voix capable aujourd'hui de rivaliser avec la Netrebko, pour la direction de Daniel Barenboim – et pour une des oeuvres majeures de Verdi. Au 16ème siècle, Gênes est déchirée par les luttes entre patriciens et plébéiens. Le marin Simon Boccanegra et son amante Maria font les frais de ces querelles intestines. Le père de Maria n’est autre que le doge de la ville, le patricien Fiesco. Lorsqu’il apprend que sa fille a donné un enfant à Simon, il l’enferme. A l’approche des élections, Simon se laisse convaincre de se présenter, voyant là son unique chance d’obtenir la main de Maria. Il ignore encore que celle-ci vient de mourir...
  3. sur 5

    Donizetti. Roberto Devereux

    Mise en scene d'Alberto Fassini. Les choeurs et l'Orchestre du Capitole de Toulouse sont diriges par Julius Rudel.