Shaun of the Dead

À presque 30 ans, Shaun ne fait pas grand-chose de sa vie. Entre l'appart qu'il partage avec ses potes et le temps qu'il passe avec eux au pub, Liz, sa petite amie, n'a pas beaucoup de place. Elle qui voudrait que Shaun s'engage, ne supporte plus de le voir traîner. Excédée par ses vaines promesses et son incapacité à se consacrer un peu à leur couple, Liz décide de rompre. Shaun est décidé à tout réparer, et tant pis si les zombies déferlent sur Londres, tant pis si la ville devient un véritable enfer. Retranché dans son pub préféré, le temps est venu pour lui de montrer enfin de quoi il est capable...

A Londres, le policier Nicholas Angel est le meilleur de son équipe. Tellement bon qu'il fait passer ses collègues pour de simples gardiens de la paix. Le chef de la brigade décide donc de le "promouvoir" dans le petit village de Sandford, où il ne se passe rien. Aux côtés du policier local Danny Butterman qui rêve de devenir Mel Gibson, Nicholas règle quelques contraventions sans grand intérêt. Une série de crimes étranges va le remettre dans l'action...

Scott Pilgrim n’a jamais eu de problème à trouver une petite amie, mais s’en débarrasser s’avère plus compliqué. Entre celle qui lui a brisé le cœur – et qui est de retour en ville – et l’adolescente qui lui sert de distraction au moment où Ramona entre dans sa vie - en rollers - l’amour n’a jamais été chose facile. Il va cependant vite réaliser que le nouvel objet de son affection traîne les plus singulières casseroles jamais rencontrées : une infâme ligue d’ex qui contrôlent sa vie amoureuse et sont prêts à tout pour éliminer son nouveau prétendant. À mesure que Scott se rapproche de Ramona, il est confronté à une palette grandissante d’individus patibulaires qui peuplent le passé de sa dulcinée : du mesquin skateur à la rock star végétarienne en passant par une affreuse paire de jumeaux. Et s’il espère séduire l’amour de sa vie, il doit triompher de chacun d’eux avant que la partie soit bel et bien « over ».

Un diptyque déjanté, hommage aux films d'exploitation et aux doubles-programmes des années 70, composé de Grind House - 1ère séance : Deathproof de Quentin Tarantino et Grind House - 2ème séance : Planet Terror de Robert Rodriguez . Le film est sorti en une seule partie aux Etats-Unis, au Canada, en Angleterre et en Australie, et en deux parties dans les pays non-anglophones.

Qu'ont en commun Quentin Tarantino, Bill Gates, Sam Raimi, Alexandre Astier et votre petit cousin dévoreur de mangas ? Ils font partie de la communauté geek ! SUCK MY GEEK ! vous invite à un voyage délirant à la rencontre de ces fans transis, au coeur de leur sensibilité hors norme et de leur univers peuplé de super héros, de zombies, de droïdes et de Hobbits. Bienvenue dans leur monde ! En laissant les geeks raconter leurs parcours et l'évolution de leur culture, les auteurs souhaitent expliquer ce qui amène tous ces jeunes gens à plonger corps et âmes dans ces univers alternatifs. Derrière leurs blagues et leurs digressions, derrière les costumes de Spider-Man et d'elfes se cachent une hypersensibilité commune et un même rapport frontal à la société, dont découle une volonté farouche d'élargir leurs horizons, d'avoir à disposition un monde plus vaste que la simple réalité. Les comics, la littérature de science-fiction ou encore le cinéma d'horreur sont des domaines qui ont longtemps été considérés comme de la sous-culture, mais qui sont omniprésents aujourd'hui dans notre espace artistique. Nous découvrirons comment une frange de la population peut alors se sentir dépossédée d'une part de son identité à travers la banalisation de ces univers. Sans être une étude exhaustive des tenants et aboutissants de cette culture, SUCK MY GEEK ! propose de mieux comprendre cette population, dont la perception a toujours été sclérosée par des clichés obsolètes d'asociabilité et de régression. Les réalisateurs de SUCK MY GEEK ! ont souhaité dessiner un portrait ludique et rock'n'roll de cette génération multimédia, et réaliser un documentaire culturel dont les enjeux narratifs sont ancrés dans le ressenti des témoins eux-mêmes.