Lucas (TV)

Isabelle, qui élève seule son fils Lucas, vole un blouson dans le magasin de vêtements qui l'emploie. Condamnée, elle refuse de se rendre à l'audience, ce qui lui vaut une peine de prison ferme. Lucas est alors placé chez son grand-père.

Jane et Bernard se rencontre et, très vite, la passion s'installe. Tandis que les projets d'avenir sont élaborés, Bernard apprend que jane est stérile...

Au début, une rencontre dans une gare qui devient pour Marcello et Irène l'occasion de véritables moments intenses. Puis Elena, une femme qui attire à elle les hommes, mais qui fuit constamment tout engagement, même avec son mari, et qui se fuit elle-même. Et la nuit nous mène à Egle, dont le mariage est planifié, dont le futur est programmé, mais à qui soudain une chance est donnée de vivre ce qu'elle attend réellement de la vie. Et le temps glisse vers Carla, douce et insouciante, vivant d'émoitions, de sexe et de cigarettes et dont la névrose lui fait croire qu'elle a tué son amant. Et plus tard encore, le plus profond de la nuit est éclairé par une romance aux protagonistes inattendus.

Edouard et Jeanne Séverin invitent leurs enfants dans leur chalet chaque été. Mais cette année-là l'harmonie familiale bat de l'aile.

Dans le train Paris-Lisbonne, Marina vient de tuer accidentellement son "ami" Bruno au cours d'une dispute. En remontant le couloir précipitamment, elle rencontre Prune, à la recherche de son père. Les deux jeunes femmes sympathisent, débarquent à Lisbonne...

Père de famille dépressif, Jean est témoin du suicide d'une femme. Il se convainc peu à peu qu'il s'agit d'un crime, et qu'il en est le coupable...

Tous les jours, à la même heure, les ondes radiophoniques d'une petite ville jurassienne se retrouvent inondées de révélations douteuses sur plusieurs de ses habitants. Une enquête ne tarde pas à commencer...

Bien qu’ayant perdu son travail, Michel vit heureux avec Marie-Claire. Ces deux-là s’aiment depuis trente ans. Leurs enfants et leurs petits-enfants les comblent. Ils ont des amis très proches. Ils sont fiers de leurs combats syndicaux et politiques. Leurs consciences sont aussi transparentes que leurs regards. Ce bonheur va voler en éclats avec leur porte-fenêtre devant deux jeunes hommes armés et masqués qui les frappent, les attachent, leur arrachent leurs alliances, et s’enfuient avec leurs cartes de crédit… Leur désarroi sera d’autant plus violent lorsqu’ils apprennent que cette brutale agression a été organisée par l’un des jeunes ouvriers licenciés avec Michel.