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◆ Génial 4.50 sur 5
Sur les lieux de tournage de leurs divers longs métrages ("Le Fils", "L'Enfant", "Rosetta", "la Promesse"), Luc et Jean-Pierre Dardenne livrent sans fard anecdotes et pensées autour de leur oeuvre. Des choix de mise en scène à la direction des comédiens, les deux frères analysent leur relation au 7e art et à la création.
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Film sur la memoire de la parole ouvriere.
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◆ sur 5
Inaugurant son bateau, Léon Mazy descend le fleuve de la Meuse. Les paysages qu'il traverse lui rappellent les dures luttes ouvrieres auxquelles il a participé, comme la greve de Seraing en 1960.
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◆ Sympa 2.50 sur 5 2
Ce documentaire, conçu pour un choeur de quatorze personnes adultes et six enfants, porte sur le destin tragique des paysans du Sertao au Brésil. Chacun raconte une part de sa propre vie et se reconnaît également dans l'écho de la parole des autres.
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Portrait de l'écrivain wallon Jean Louvet.
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L'histoire de la Pologne, à travers le portrait de cinq émigrés.
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A la découverte des radios libres européennes.
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◆ Top 3.83 sur 5
Documentaire sur le cinéaste japonais Takeshi Kitano dans la série "Cinéma de Notre Temps".
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◆ Bien 3.00 sur 5
Documentaire sur Alain Cavalier dans la collection "cinéma de Notre Temps".
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◆ Sympa 2.89 sur 5 58
Véritable plongée dans l'univers de la mafia japonaise, Young Yakuza est le récit initiatique d'une rencontre, celle d'un jeune homme désoeuvré et d'un parrain, lui-même en pleine crise identitaire. Placé par sa mère en apprentissage au sein d'un clan mafieux, Naoki va découvrir le quotidien des Yakuzas pendant une année entière. Ensuite, il lui appartiendra de choisir : rester ou quitter ce monde qui s'accroche à son passé...
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◆ Bien 3.00 sur 5 2
Le 18 février 1976, La Devinière, un lieu de psychothérapie institutionnelle, ouvrait ses portes à 19 enfants réputés incurables, exclus par tous. Ni le sens commun, ni la psychiatrie, ni la pédagogie ne pouvaient les admettre et les reconnaître. La Devinière a accepté ces enfants, en somme exilés, avec comme principe fondateur de ne les rejeter sous aucun prétexte. Le mot "asile" reprend son sens, un espace sans grille où l'on donne le droit de "vivre avec sa folie". Durant plus de vingt ans, des liens de solidarité se sont forgés entre ceux que rien ne reliait.