1. Génial 4.55 sur 5
    Chronique des années de braise : Affiche

    Chronique des années de braise

    Chronique évenementielle de l'histoire de l'Algérie de 1939 a 1954, date du déclenchement de la lutte armée. Le film s'articule autour de deux axes fondamentaux : l'expropriation des terres et la déculturation. Il montre en quoi le 1er novembre 1954 est l'aboutissement de la lutte multiforme du peuple algérien pour résister à la colonisation, depuis ses débuts. Palme d'or, Cannes 1975.
  2. Similaires Mieux notés Populaires Derniers Bande-Annonce
  3. Sympa 2.67 sur 5

    Le Vent des Aures

    Une famille paysanne est detruite par la guerre d'Algerie. Le fils vaque aux travaux domestiques pendant la journee et parcourt la nuit les montagnes pour ravitailler les maquisards de l'armee de liberation nationale. Une nuit, il est arrete par la force coloniale. La mere quitte le douar et s'en va inlassablement de camp en camp pour retrouver son fils.
  4. Sympa 2.50 sur 5

    Vent de sable

    Une huitieme fille ! Dans ce village saharien, quel deshonneur pour Amara de n'avoir aucun heritier. Aveugle par la colere, il repudie sa femme. Mais Amara ne peut supporter que d'autres connaissent un bonheur qui lui a ete refuse...
  5. Sympa 2.75 sur 5 2
    Si Mohand u M'hand, l'insoumis : Affiche

    Si Mohand u M'hand, l'insoumis

    A la vie de son peuple, à un moment critique de son histoire, Si Mohand U M'hand a participé pleinement. Il naît et déjà le drame marque sa vie. Sa famille est en effet étrangère au village où il voit le jour ; elle vient de s'y réfugier depuis peu pour fuir les suites d'une vendetta. Puis Mohand encore enfant voit les troupes du Général Randon monter à l'assaut du massif Kabyle. Ichariouan, son village, est détruit et ses habitants dispersés. C'est le deuxième exil du poète. Quatorze ans plus tard, la grande révolte de 1871 soulève le pays, la famille de Mohand s'y engage tout entière. Après la défaite, le père du poète est jugé, condamné et passé par les armes à fort national sur les lieux mêmes de son premier village détruit. Son oncle est déporté en nouvelle Calédonie. Son frère fuit en Tunisie et lui-même ne doit la vie sauve qu'à l'intervention d'un officier français. Tous les biens de la famille sont confisqués. Mohand réduit à l'indigence, quitte la montagne natale et s'en va. C'est son troisième et définitif exil. Il passera désormais sa vie à parcourir les villes et les routes d'Algérie et quelques fois de Tunisie, il vit jour le jour, au fil des circonstances. Il prend conscience du caractère singulier de son destin et l'accepte comme tel. Pour s'étourdir, il s'adonne, d'abord avec réticence, et à la fin avec frénésie, à tous les plaisirs défendus : les filles, le vin, l'absinthe, le haschich, la cocaïne. Vivant d'expédients, il hante les cafés maures, les bistrots, tous les lieux ou l'on tâche de s'étourdir et de prendre du bon temps...