1. Navet 1.83 sur 5 20
    Bête, mais discipliné : Affiche

    Bête, mais discipliné

    Jacques, bidasse et benêt, est désigné comme volontaire pour le transport d'un gaz secret permettant d'annihiler la volonté. Cette nouvelle tâche ne l'arrange pas, car il comptait filer en douce pour retrouver Sylvie, dont il est amoureux.
  2. Bien 3.17 sur 5 6

    Les Galets d'Etretat

    A la suite d'une panne de voiture, Mademoiselle Annie, directrice d'un centre d'amaigrissement, rencontre un certain Monsieur Kelvo, champion d'automobile. Mais au lieu de lui venir en aide, celui-ci la viole. Elle décide alors de se venger et le suit...
  3. sur 5

    Papa

    Marc, un jeune paume et drogue, kidnappe son fils dans un moment de folie et trouve refuge chez son pere. Les trois personanges sont incapables de communiquer. Marc sera confronte a sa propre realite au travers de son pere, qui tentera de lui expliquer maladroitement que sa fuit est vaine.
  4. sur 5
    Le Margouillat : Affiche

    Le Margouillat

    Alex (Jean-Michel Gibard), la quarantaine heureuse, est un homme comblé. Bras droit de son beau-père (François Dyrek ; Le Zèbre ), PDG d'une grande multinationale, son ascension semble irrésistible. Mais cette réussite inquiète ce dernier, jaloux de son talent et soucieux de conserver son poste. Pour se débarrasser de ce gendre encombrant, il fait réaliser un montage-photo compromettant qui accuse Alex d'adultère. Sûr de son effet, il le montre à sa fille (Sophie Hardy ; Un clair de lune à Maubeuge ), qui somme Alex de s'expliquer. Le ton monte, la femme s'énerve, gesticule, se prend les pieds dans un câble de projecteur de son labo-photo, et se blesse mortellement en tombant. L'assistante de sa femme (Daisy Verdoucq), qui se trouvait dans la pièce d'à côté, jure qu'il ne s'agit pas d'un accident mais d'un meurtre. Alex est incarcéré. Il devra déployer des trésors de courage et d'intelligence pour se faire disculper. Le Margouillat (2000), qui tire son nom d'un petit lézard, est le premier long métrage de Jean-Michel Gibard. Ce passionné de cinéma américain a d'ailleurs reçu la "Main d'Or" du meilleur auteur-réalisateur en 1998. Jean-Michel Gibard a mis près de dix ans à concrétiser son projet, qui devait initialement voir le jour en 1994. Le tournage fut ajourné pendant quatre années.