1. Bien 3.02 sur 5 54
    Un Vrai bonheur : Affiche

    Un Vrai bonheur

    Odette a tout prévu pour que le mariage de sa fille Mathilde se déroule le mieux possible : le choix du traiteur, le lieu, le plan de table, les amis de toujours, rien n'a été laissé au hasard pour que cette soirée soit inoubliable : Elle le sera. De son côté, le traiteur a aussi tout prévu pour que sa première sortie reste mémorable. Qu'il ne s'inquiète pas, il ne sera pas déçu ! Il a confié le service à deux jeunes extras, pleins de bonne volonté quoiqu'un rien novice ; et l'animation musicale sera confiée à un orchestre qui joue d'ordinaire du hard-rock mais qui, pour l'occasion, devra s'astreindre à ne jouer que de la variété française ! Jusqu'au moment où les extras avancent précautionneusement la pièce montée, les événements sont calmes ; c'est après que les choses vont se gâter...
  2. Sympa 2.50 sur 5

    Le choix d'Adèle (TV)

    Cela fait deux ans que le mari d'Adèle est décédé. Depuis, cette institutrice passe sa vie dans le souvenir de son mari. En milieu d'année scolaire, arrive dans sa classe la petite Kaniousha, 8 ans et réfugiée albanaise. Adèle tente de l'intégrer à sa classe, mais l'enfant est rebelle et finit par exaspérer l'institutrice. Peu de temps après, une association contacte l'école pour annoncer que les parents de Kaniousha sont menacés d'expulsion. L'école se mobilise contre cela, sauf Adèle. Mais le jour où la police fait irruption devant l'établissement pour venir récupérer l'enfant, Adèle l'emmène avec elle...
  3. sur 5

    Sans mentir (TV)

  4. sur 5

    Kaniousha (TV)

    Adèle, une institutrice très bien notée par sa hiérarchie, n’arrive pas à faire le deuil de son mari, décédé il y a deux ans. Elle vit sans cesse dans son souvenir... En milieu d’année arrive dans sa classe une petite fille de 8 ans, Kaniousha. L’enfant est hostile à l’école. Elle refuse de travailler, se montre violente avec ses camarades. L’institutrice cherche à l’intégrer, mais le jour où la petite lui vole son portable et efface inopinément la voix de son mari défunt, Adèle la prend en grippe. Elle tente, sans succès, de convaincre la directrice que l’enfant n’est pas adaptée au système scolaire et qu’elle serait mieux dans un centre spécialisé.