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    Le Retour de Cagliostro : Affiche

    Le Retour de Cagliostro

    C'est en 1947 que les frères Carmelo et Salvatore La Marca créent à Palerme la Trinacria Cinématographique, un petit studio "hollywoodien", avec l'intention explicite de faire concurrence aux fameux studios romains Cinecittà. Pour accomplir cette opération titanesque, les frères Lumière du cinéma sicilien peuvent compter sur l'aide de trois influentes figures locales : le cardinal Vincenzo Sucand, le député Porchon et le baron Cammarata. Ce dernier, passionné des sciences occultes et disciple de Cagliostro, vend toutes ses propriétés pour financer la grande épopée du studio, "Le Retour de Cagliostro". Pour concrétiser leur chef d'oeuvre, les frères la Marca font appel au réalisateur Pino Grisanti et confient le rôle-titre à la grande star hollywoodienne Erroll Douglas, devenue depuis un alcoolique invétéré et dont la carrière aux Etats Unis est sur le déclin...
  2. sur 5

    Visas d'Italie

    Un programme de huit courts métrages d'une durée chacun de cinq à dix minutes réalisés par des cinéastes italiens : Marco Bechis, Guido Chiesa, Roberta Torre, Daniele Cipri et Franco Maresco, Beppe Gaudino, Pappy Corsicato, Elisabetta Lodoli et Edmund Budina. Tous ces sujets ont en commun le thème de l'émigration.
  3. sur 5

    L'Oncle de Brooklyn

    La famille Gemelly (Tano, ses trois fils et son neveu, paralysé et un peu fou) vit dans un vieux bâtiment délabré de la banlieue de Palerme. Deux nains, des chefs de la mafia, les informent qu’ils doivent abriter et cacher pendant quelques jours un person- nage mystérieux, l’oncle de Brooklyn, qui vient “d’un endroit inconnu”. Les Gemelly ne peuvent décemment pas refuser cette “faveur”. Leur invité s’installe donc chez eux. Les jours passent sans que personne ne vienne chercher cet oncle de Brooklyn qui ne mange pas, qui ne dort pas et qui ne parle pas...
  4. sur 5

    Io sono Tony Scott, ovvero come l'Italia fece fuori il più grande clarinettista del jazz

    Franco Maresco Documentaire
    Il aura fallu trois ans pour réaliser "Io sono Tony Scott". Le film raconte la vie du clarinettiste siculo-américain Anthony Joseph Sciacca, devenu à la fin des années 1940 Tony Scott, le plus grand clarinettiste du jazz moderne. Retracer la carrière musicale et la vie de Tony revient à raconter 60 ans de jazz, de rencontres humaines et artistiques incroyables, mais aussi, dans le même temps, à reparcourir l’histoire américaine de la seconde moitié du siècle dernier, et notamment les luttes pour les droits civiques, dont Tony Scott fut l’un des principaux défenseurs.