1. Bien 3.21 sur 5 52
    Fortapàsc : Affiche

    Fortapàsc

    En 1985, Giancarlo Siani est tué de dix balles de revolver. Il avait 26 ans. Il était journaliste au quotidien "Il Mattino" et avait le défaut de s’informer, de vérifier les nouvelles, d’enquêter sur les faits. Nous le suivons ici dans les quatre derniers mois de sa vie : son dernier été, quand il descendait tous les jours dans l’enfer de Torre Annunziata, règne du boss mafieux Valentino Gionta. A cette période, tout tournait autour des intérêts pour la reconstruction de l’après-tremblement de terre de 1980. Au milieu des « camorristes », des politiciens corrompus, des magistrats craintifs et des carabiniers impuissants, Giancarlo voyait. Il comprenait. Il s’agit du seul journaliste qui ait été tué par la Camorra.
  2. Sympa 2.95 sur 5 10
    L'Etrange Monsieur Peppino : Affiche

    L'Etrange Monsieur Peppino

    Un homme trop petit, un homme trop grand, une jeune fille à la bouche refaite se rencontrent par hasard : une rencontre qui devrait n'avoir aucune suite et qui devient, fatalement, la chronique tourmentée d'un amour nié. Peppino, l'homme trop petit, est embaumeur. Valerio, le jeune homme trop grand, est serveur. Deborah, elle, change tout le temps de métier... Ils ont des rêves différents, des pulsions secrètes : ce sont trois naufragés qui tentent de s'accrocher à la certitude d'un amour capable de normaliser et de justifier leur mal de vivre commun...
  3. Navet 1.25 sur 5 2
    Je lis dans tes yeux : Affiche

    Je lis dans tes yeux

    L'histoire de trois femmes, trois générations qui s'éloignent et se rapprochent, partagées entre Rome et Naples.
  4. sur 5

    Troppo belli

  5. sur 5

    Napoli, Napoli, Napoli

    Le réalisateur a suivi trois prisonnières de la prison d'état de Pozzuoli, avec l'aide de Gaetano Di Vaio, un repenti de la Mafia. Il a fictionnalisé leurs trois histoires pour en faire un film.
  6. sur 5
    Incidenti : Affiche

    Incidenti

  7. sur 5

    Lascia perdere, Johnny !

  8. sur 5

    Salvatore, questa e la vita