Tout pour la vérité (TV)

Documentariste de renom, Lauren Wilde boucle un reportage autour d'un sujet sensible : la vie des condamnés à mort quelques mois avant leur exécution. Pour étayer son sujet, elle se rend à Hillsdale, dans l'Oregon, scène d'un crime passionnel particulièrement horrible qui avait décimé une famille entière, les Watson. Tentant d'en savoir plus sur ce qui a poussé Kevin Reese, l'auteur présumé du meurtre, à commettre un tel acte, Lauren se voit bientôt confrontée aux proches du détenu, qui doutent de sa culpabilité. Et quand, de surcroît, la police locale fait preuve de beaucoup de réticence à l'idée de coopérer, la journaliste pourrait bien devenir enquêtrice et mettre à jour des éléments du dossier qu'on avait intentionnellement tenter de dissimuler.

Une forme de vie, échappée d'explosions solaires, est arrivée sur la Terre il y a des milliers d'années. Ces serpents de feu ont inspiré des légendes bibliques à propos d'anges et de démons. Actuellement, un spécimen a été capturé par l'armée, qui compte bien s'en servir comme d'une arme, mais ce dernier s'échappe. Un pompier, épaullé par un ex-scientifique du gouvernement et un policier tentent de stopper la créature. Mais dans un même temps, un agent du gouvernement, fanatique religieux pensant que le serpent à été envoyé par Dieu pour purifier le monde par le feu, tente lui aussi de retrouver la créature, et il est prêt à tout pour y arriver...

Eric Wynn est un homme respectable qui travaille pour une compagnie dont il croit tout connaître. Son travail : surveiller des gens prisonniers d'une sorte de Cube, prison métallique étrange. Mais quand une innocente se fait capturer et est enfermée dans le Cube, Eric commence à comprendre qu'il y a quelque chose qui se passe derrière ce que raconte la compagnie pour laquelle il travaille. Décidant de ne pas se laisser faire, Eric décide d'entrer lui-même dans le Cube, pour sauver le maximum de gens. Mais l'horreur ne commence pas à l'intérieur du Cube, mais à l'extérieur. Ceux qui épient sont épiés, et la fin n'est que le commencement...